Treizième lettre
Philippe,
ne plus pouvoir me blottir dans tes bras est cruel. Une cruauté que je ne peux partager avec personne. Les années passant, normalement mon deuil devrait être terminé, j'aurais dû te remplacer il y a quelques années déjà... j'aurais dû faire l'effort de retrouver d'autres bras prêts à m'enlacer. Si le manque est cruel, j'en suis responsable...